Tu t'es vue quand tu t'shoote aux champis ?

[Sandra O'Neill]

Emmargeant péniblement d'un trip au champi plutôt vaches, Sandra O'Neill ouvre les yeux, étonnée de ne plus voir les éléphants roses qui chantent avec des kalashnikovs en mousse verte...

- Hummmmm 'tain d'mert'... J'suis fracasse moi...

Sandra tente de se lever, tout le poid du monde pesant lourdement sur son cerveau embrumer.
Alors même qu'elle se trouve sur les genoux, elle sent quelque chose qui l'étrangle.

- Gargl ! Quest-ce que... ?

Du bout des doigts, elle effleure cette chose froide qui se colle à elle.

- Une chaine ? Mais c'est quoi ce bordel ?! Oh putain... J'y suis... Les négriers... Bande d'enflures ! Bon, ils se la jouent ? J'vais leurs faire regretter !

D'une mains, Sandra fouille dans ses poches, retrouvant quelques champignons flétris. Bien décidée à ne rien donner sans combattre, elle creuse la terre et y creuse un trous juste asser profond pour y enterrer ses trésors.

- Vont probablement profiter de moi sans payer, alors ca les gars, vous l'aurez pas !

Ses yeux commençant a s'acclimater à la pénombre, Sandra constate qu'elle se trouve attachée à gros piquet, dans une tente de style improbable que des éléphants roses chantant avec des kalashnikov en mousse verte.

Ces pensée hautement philosophiques furent soudainement intérompue par des éclats de voix. Les négriers n'étaient pas loin.

[Ragzath Sanghdor]

D'un pas rapide, la lourde carcasse du barbare se dirigea vers la tente de leur nouvelle prisonnière.
C'était Raw qui c'était chargé de la chasse. Par simplicité Ragzath lui avait ordonné de ramener des zombies. Ils étaient plus aisés de les maintenir en laisse et leur surveillance pouvaient se résumer à très peu. Pour ne pas dire à rien...

Comme à sa coutume, le chef des cabochards alla juger des capacités physiques et des intérêts de leur nouvelle zombie. Certain ce montrait pratique, avec encore assez de cervelle pour effectuer des tache simple mais essentielle. D'autre être simplement à jeter ou plutôt à manger.

D'un coup sec et violent, l'immense barbare ouvrit les "portes" de la tente. Mais au lieu d'entrer et de se diriger vers l'esclave, il se stoppa net. Un regard noir se posa sur Raw qui le précédait... celui ci ne semblait pas non plus comprendre.

La jeune demoiselle qui se trouvait devant eux était en très piteux état mais n'avait rien d'une zombie... Une désagréable surprise s'empara de Ragzath qui alla vers cette infortuné et se pencha vers elle. Nan, pas une zombie maintenant qu'il était plus proche. C'était elle réveiller pour on ne sait qu'elle raison ? Ou bien Raw était trop con pour pas faire la différence entre une zombie et une femme qui aurait du se défendre... enfin ça faisait rarement kiffer les gens d'être condamner à des années de rude servitude.

Bizarre...

Conclu subtilement le barbare qui attrapa la jeune femme par les cheveux pour la coucher à plat ventre. Ses larges mains fouillèrent rapidement le corps de leur prisonnière pour finir par tomber sur un petit sac... bien évidemment... vide !
Il se releva et le jeta à terre.

Son regard animé par une soudaine colère se posa sur le corps de Sandra, il la regarda un instant... des prisonniers vivants, des esclaves quoi. C'était peu rentable. Et assez délicat à gérer... chose avec laquelle il avait du mal. Mais ce qui l'ennuyait le plus pour l'heure c'était le butin manquant, aussi maigre était il, c'était toujours gratifiant un bon petit pillage... et parfois certain glandu avait des trucs chouettes qui faisaient bien tourner la tête et rendaient heureux sa troupe. Le moral était une belle plante à entretenir... au plus elle était vivace, au mieux ses gars se battaient, et c'est tous ce qu'il lui importait.

T'es provisions sal'pute !? T'les à foutu où ?

Sa voix avait jailli du plus profond de ses entrailles et résonna dans les très fond de la nuit.
En plus de cela il faisait très sombre sous cette tente, c'était à peine si il distinguait clairement les traits de ce visage plein de crasse.

[Sandra O'Neill]

le rudesse du barbare faisait naitre des larmes dans les yeux de Sandra, la peur la terrasait. Le barbare n'avais rien de ce qu'elle imaginait être un négrier. Il n'avais pas l'air haluciner par une absorption massive de drogues ou d'alcool.

- Au fond à gauche connard ! S'entendis t'elle répondre. Mais qu'elle folie s'emparait donc d'elle ? Elle qui avait supporter d'offrir son corps à tant d'hommes et de femmes en échange d'une bouchée de pain, elle qui sacrifiat jusqu'a sa fiertée sur l'autel de la survie, comment pouvait-elle prendre le risque de mêtre en colére un homme qui pouvait lui briser la nuque d'un claquement de doigt ?

- Et puis merde ! Bute moi qu'on en finise. J'ai rien sur moi, qu'es'tu veut y faire hein ? Tu vas faire quoi ? T'vas t'en payer une bonne tranche, gratos, avant de bouffer ma carcasse non ? Alors arrête de faire l'malin, j't'emmerde toi et ta p'tit troupe... AAATCHA !

Alors même qu'elle s'apprétais à subir les conséquences de son ultime bravade, cet éternuement la destabilisat au plus haut point. Elle en avais connus des situation merdique, mais là, c'était le summom... attachée comme un animal, crachant du venin tel un serpent de mauvais poil, voila que son propre corps refusait de la soutenir, voila que son propres corps s'alliait aux evenements pour la ridiculiser. C'est alors qu'elle constatat qu'elle transpirait abondement, trop pour que ce soit honnête. Décidement, ces champis lui en avais mis un grand coups.

[Ragzath Sanghdor]

Elle était vraiment dans un pitoyable état... de la morve au bout du nez, le visage crasseux et les cheveux en bataille. De petite goute de sueur commençait à se perler sur son visage. Elle ne lui faisait pas pitié mais il eut un moment de... réflexion. Il prit un peu de recule et considéra l'acte de rébellion de Sandra comme une belle forme de combativité fort apprécié. Cependant elle était rachitique et faible, un misérable petit morceau de viande sur patte, loin très loin d'être digne d'une quelconque considération.

Le barbare ne tressaillit pas lorsqu'elle l'insulta, l'expression de son visage resta la même et son corps avait à peine bougé. La tuer ? Pourquoi pas... cependant il n'était pas à cour de nourriture, pas d'intérêt si ce n'était être sur chargé. Plus facile quand votre prochain repas à encore ses pieds pour vous suivre et une chaîne pour ne pas fuir.
Ragzath gonfla sa poitrine, ses poumons se remplirent d'air avant de soupiré exaspéré. Il s'accroupit et saisi le visage de la jeune femme. Crachant ensuite sur sa figure et frotta rapidement le visage de celle-ci, débarbouillant le plus possible pour mieux la voir.

Verdict : Potable... ouais en fait lui trouer la chatte serait pas de refus. Mais le barbare s'abstint et se dirigea hors de la tente. Il n'avait pas la tête à ça, en réalité il n'avait plus la tête pour cela. Le sexe, un machin qu'il avait rangé dans un fond de tiroir. Non pas que sa libido était morte, seulement c'était loin d'être une priorité. Trop de complication pour pas grand chose et puis son étrange code de l'honneur relativement douteux... n'en faisait pas une salope fourbe et vicieuse... juste un gros con.
Son regard se posa sur Raw et il lui fit signe de le suivre.
Avant de sortir de la tente il se tourna vers Sandra et lui lâcha simplement.

Bienvenu chez les Cabochards.

Le barbare cracha par terre avant de jeter un morceau de viande en direction de Sandra. Ben ouais, fallait nourrir leur compagnon de marche... libre ou non.

Et mange cette fois ci...

C'est sur ces mots que le barbare la laissa seule. La nuit lui porterait conseil pour voir vraiment quoi faire d'elle.

[Sandra O'Neill]

A la vue du misérable morceau de viande qu'on venait de lui jeter, tel un os à un chien, Sara ressenti une faim atroce. Accepter de manger, c'était accepter son sort.

Après quelques minutes d'hésitation, la nouvelle esclave des Cabochards se résigna à manger. Il lui fallait des forces si elle espérait pouvoir s'évader un jour.

- Bien'vnu chez les trous du culs ouais... 'culer !

Le frugal repas à peine terminer, l'esclave s'endormit d'un sommeil lourd, qu'elle espérait réparateur.

[Stephen]

Les pans de toile crasseux de la tente s'étaient immobilisés depuis quelques minutes après le passage de Ragzath. Le calme et une étrange atmosphère un peu pesante s'étaient emparés de l'espace. Dehors, des voix étouffées attestaient que les Cabochards n'étaient pas loin, et qu'ils se trouvaient en pleine discussion. La prisonnière oppressée avait pu ressentir la tension diminuer, livrée à elle même au centre de son abri de fortune. Son repas consommé, elle avait pu oublier ses tracas et la situation délicate dans laquelle elle se trouvait.

Pourtant, un coup d'œil jeté vers l'entrée attira son attention. Là, immobile devant l'ouverture, se tenait une fillette au visage de marbre. Simplement vêtue, visiblement habituée à une vie de bohème au sein du clan nomade du géant barbare, elle la considérait avec une impassibilité proche de l'arrogance. Sa petite bouche dédaigneuse, ses cheveux soigneusement tirés en arrière, et ce regard innocent pourtant d'un froid polaire. Elle faisait figure d'illusion au beau milieu de ces terres hostiles. Sandra état en train de se préparer à dormir, Stephen, elle, n'avait rien à faire ici. Elle demeurait pourtant là sans rien dire, figée face à la prisonnière comme dans une attitude de reproche. Ses yeux restaient rivés sur le visage de la femme, espérant creuser son âme pour en déduire sa personnalité. Quel genre de nouvel individu allait désormais partager leurs galère? Qui était cette femme que l'on croyait perdue et auprès de qui ils allaient continuer à survivre?

[Sandra O'Neill]

Essayant d'ignorer le regard de la jeune enfant, Sandra s'allongea, tournant le dos à la nouvelle venue, non sanr râle de douleur, cette chaine était vraiment trop serrer.

Sentant dans son dos la brulure du regard pourtant froid, l'esclave, sans même se retournée demandas

- T'vas rester là toute la journée ? T'as rien d'autre à foutre qu'de me mater ?

[Stephen]

Elle ne répondit d'abord rien, laissant planer un silence de plomb. Stephen n'aimait pas communiquer. Ses rares expériences dans le domaine lui permettaient parfois de se tirer d'affaire, car contrairement à ce que son visage fermé laissait paraitre, elle était très capable de mener une discussion afin d'obtenir ce qu'elle désirait. Le barbare avait été le premier à en faire les frais depuis qu'elle avait débuté sa "nouvelle vie". Et jusqu'ici, la chance et le hasard n'avaient pas été trop cruels avec elle. C'était d'ailleurs loin d'être gagné d'avance, car les enfants ne faisaient pas de vieux os sur cette terre désolée. Mais aussi renfermée que pouvait être la fillette, elle était également douée d'une curiosité et d'une méfiance à toutes épreuves, qui dépassaient de loin normes habituelles.

- Comment vous avez pu vous laisser attraper aussi bêtement?

La question avait claqué dans l'air, sans préliminaire d'aucune sorte. Elle était toujours plantée là, ses yeux morts fixés sur le dos de Sandra. Stephen n'aimait pas s'embarrasser de diplomatie et de précautions verbales, ce qui lui attirait généralement les foudres de ces congénères, notamment ceux qui ne la connaissaient pas. Mais son esprit indépendant et froidement analytique semblait cacher quelque chose. Une douleur intérieure très profondément enfouie. Un tourment que l'on pouvait lire à travers ce petit visage inexpressif et sans vie.

[Sandra O'Neill]

La question, aussi violente qu'inattendue fit tressaillir Sandra. La petite avais raison, il fallait vraiment être très conne pour s'être fait avoir comme une zombie... Une zombie junkie, qui plus est.

- 'tain, si seulement j'savait... J'me souvient d'l'Hivernage, les champis, les éléphants roses et les kalash' en mousse verte... Puis plus rien, jusqu'à c'que j'me réveille attachée a c'te saloperie d'poteau... Mais qu'es'ca peut t'fout' d't'maniére ? T'vas pas m'détachée pas vrais... Alors, qu'es'ce ca peut t'fout' ?

Des larmes de rages se mirent à rouler le long des joues de l'esclave nouvellement consciente de sa propre médiocrité.
Laissant libre cour aux larmes, Sandra laissa son corps tressauter sous les assauts des sanglots.
Des années de prostitutions librement acceptée ne pouvaient vous préparer à la douleur de l'esclavagisme.

[Stephen]

Elle la considéra un long moment en train de pleurer. Pas un seul signe d'émotion ne vint tirer ses traits, à peine une légère inclinaison de la tête trahit la curiosité qui l'animait. Puis au terme d'une longue observation, elle lâcha enfin d'une voix posée :

- Non. Je n'ai pas l'intention de vous détacher. Qui sait ce que vous pourriez me faire... Je venais juste m'assurer que vous étiez pas dangereuse. Et apparemment, vous ne l'êtes pas trop.

Elle faisait ainsi référence à son état pitoyable, remuant le couteau dans la plaie de la pauvre Sandra. Comment pouvait-on démontrer autant de désintérêt pour la misère d'un de ses semblables? Pour Stephen, la situation paraissait banale. Et à la vérité, elle l'était assurément. Tournant le dos à la femme recroquevillée, elle passa les pans de toile de la tente d'un pas raide et tranquille. Pas une seconde elle ne se retourna pour un dernier regard vers Sandra.

[Ragzath Sanghdor]

Elle venait de sortir. Un pas tranquille, une démarche analytique et glaciale... tout Stephen quoi. Le barbare avait remarqué les va et vient du campement, cette nouvelle inconnue faisait de l'animation. Fort heureusement pour le barbare, c'était plus de la curiosité face à un nouvel animal de compagnie que de la compassion à l'égare d'une pauvre demoiselle en détresse, qui devait faire naître cet intérêt soudain.

Lui n'avait pas bougé, il était resté une bonne parti de la nuit devant un feu de bois. C'était toujours comme ça, dé qu'un sujet lui prenait la tête dormait peu. Que faire de cette traîné ? La vendre comme catin ? Possible... elle ne servirait sans doute pas à grand chose d'autre vu son état et sa constitution. Peut être qu'elle ne survivrait même pas au voyage. Ou bien alors en faire une ramasseuse... l'envoyer dans les zones irradié ou à risque pour rapporter des reliques. Ou bien une simple mule même si elle est pas de large épaule.
Que d'avenir réjouissant pour Sandra. Prisonnière d'un barbare un peu lourd et bourru qui a du mal avec les diverses concepts de socialisation. D'ailleurs il ne savait même pas son nom, enfin de toute façon il s'en branlait pas mal.

Ragzath se releva, il se dégourdi rapidement les jambes et marcha vers une autre tente. Il réveilla ceux qui dormait encore et réuni rapidement leur réserves et il les enfila dans une sacoche.
Il regarda rapidement son campement de fortune, il avait horreur des tentes ou toute forme de vie civilisé. Un bon rocher sous la pluie, ça c'était le bon plan !

Il était plus que temps de parti pensa t-il. Sans attendre il se dirigea donc vers la tente de Sandra. Comme à son habitude il y entra avec fracas, heurtant un cailloux qui le fit buté. Il tenta de se rattraper à un truc et s'agrippa au piquet central. Celui-ci supporta mal le poids d'un colosse qui tombe et il se plia. Toute la tente s'écroula, recouvrant le sol d'un épais et rudimentaire voile. Le barbare ne bougea plus, constatant les dégâts.

Et merde...

La masse énorme tenta de se dépêtré de cette merde avec un minimum de dignité. Il attrapa donc sa lance et l'enfonça dans le tissu qu'il déchira par après. Il sorti de se bourbier et tenta de retrouver Sandra.

Saloperie de tente...

[Sandra O'Neill]

La chutte de la tente réveilla en sursaut l'esclave shootée aux champis.

- Que... salop'rie ! C'quoi c'merdier !

Tentant de se sortir de l'amat de tissus, Sandra eu soudainement l'idée de vérifié si, à tout hazard, le piquet qui la retenais si affectueusement prisoniére n'avais pas, lui aussi, céder.
Longeant de la main le bois réche, elle dut constater avec aigreur que le bois n'avais nulement céder.

- Bin tient... Un peut d'chance ca f'rais pas d'mal...

Après quelques instants d'hésitations, l'esclave se mit à hurler aussi fort que ses poumons, fragilisé par la maladie, le lui permettais.

- Hey ! Y'a pas quelqu'un foutu d'relever cette tente ?! On étoufe là d'sous !

[Stephen]

Stephen, qui avait assisté à la scène depuis son petit coin d'ombre mit seulement quelques minutes à s'approcher d'un pas raide et tranquille. Avec à peine l'esquisse d'un sourire intérieur, elle sortit de sa poche le petit briquet qui servait généralement pour allumer le feu de camp, et qu'elle avait volé la veille au soir à son propriétaire imprudent. Son arme improvisée en main, elle approcha dangereusement la petite flamme vacillante de la toile.

- Je vais te la relever moi cette foutue tente...

Un simple murmure et elle s'apprêtait à contempler une épaisse fumée et les coulées brulantes de la matière inflammable que constituait la masse informe de l'abri effondré. Alors que le léger courant d'air faisait dangereusement vaciller la source incandescente à proximité de la toile, une énorme main vint s'abattre sur le petit poignet de la fillette. Le briquet heurta le sol, et le visage de Stephen se fit aussi neutre qu'à son habitude, ses yeux à peine teintés d'une incompréhension forcée.

[Sandra O'Neill]

Après quelques efforts des plus douloureux, Sandra réussi à trouver sous le lourd tissus, l'une des longue traverse qui jadis maintenaient la tente. S'acharnant à la casser en plusieurs de longueur relativement égales, elle pût en relever trois, ce qui lui permit de se dégager une petite voute sous laquelle elle pût se coucher sans étouffer sous le poid du lourd tissus.

- J'y crois pas qu'y'a pas un seul de ces enculers qui vient m'aider... J'sais bien que j'suis que de la viande pour eux mais quand même...

Pendant des heures, interminables, l'esclave cherchas le someil en vain, la toile si proche maintenait une chaleur torride insupportable.

- De soif... Je vais crever de soif comme une merde... Oh putain si j'm'en sort j'te jure que j'vais me les faire un à un.

[Ragzath Sanghdor]

La toile de la tente se déchira violemment, une énorme main s'engouffra dans ce entaille fraichement déchirée. Le barbare souleva comme un fétu de paille la petite Sandra dégoulinante de sueur. Son visage à moitié réveillé, observa la chaîne enroulé autour de son cou. Il la suivi du regard pour en trouver son origine. Bien, toujours captive la salope. Pour tout dire il l'avait oublier.

Stephen avait failli faire cramer la tente avec son briquet, après lui avoir reprit cette... ce... le truc quoi. Il l'avait bien fusiller du regard pour savoir ce qu'elle voulait mais, rien ! Comme à son habitude Stephen restait neutre, froide, implacable. Il la laissa donc filer et alla s'installer auprès des siens. Intrigué par le comportement de la jeune fille il garda un oeil sur elle (sans jeu de mot pourrave) ça faisait vraiment longtemps qu'ils marchèrent. Stephen avait été particulièrement discrète. L'esprit humain évoluait, ça le gros barbare le savait. Peut être que ça portait ses fruits de marcher avec lui, elle devenait méchante la petite... ? ou le montrait enfin ?

Soit, au milieu de la nuit le son d'une voix le réveilla. Il gardait un oeil ouvert (toujours sans jeu de mot) et était souvent réveiller par les petits son typiquement humain. Et là, c'était Sandra qui jurait et gesticulait, au beau milieu de cette putain de nuit... putain de relou.

Bois... et tais toi ! On part tôt demain...

Dit le barbare en lui tendant une gourde.

[Sandra O'Neill]

Le regard haluciné, Sandra se jetta litéralement sur la gourde (sans jeux de mot pourave non plus ^^) et la but d'une traite.

D'une voix faible et sans conviction aucune, elle finit par parler

- Merci... M'sieur

Le Barbare trainat son jouet jusqu'au feu de camp qui crépitait pitoyablement non loin de là.
Lorqu'il s'assit, Sandra n'ayant rien d'autre à faire s'allongeat au pied du géant et s'endormis.

[hrp : Elle est pas classe ma transition vers le RP d'arriver du vieux Smith ? Hein ? Hein ? ^^]

[Ragzath Sanghdor]

[Hrp : Putain magnifique, je comprend mieux maintenant que je sais que t'es belge... A moins que Stephen veuille mettre une petite conclusion à ça. Jdirais qu'il est bien beau ce rp Je supprimerais ce message après un poste éventuelle ou un confirmation de Stephen que ch'est bow et bien fini]

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